Le gouvernement chinois serre la vis jeudi à Hong Kong avec la plus grande raffle depuis Tinanmen. Ils ont été accusés de subversion en vertu de la nouvelle loi sur la sécurité nationale. Les militants sont poursuivis en lien avec les primaires de l'opposition, aucquelles 600,000 personnes ont participé en juillet dans l'optique de capitaliser de la mobilisation de 2019 aux législatives. Ces élections avaient été reportées d'un an en raison de la pandémie. La plupart des candidats avaient été disqualifiés par Beijing.
Le parlement chinois s'apprête à réformer le système électoral de Hong Kong. L'assemblée nationale populaire va surement approuver ce projet de réforme du Legco qui est présentement secrêt.
