Depuis janvier 2015, plus de 200 détenus ont été libérés par erreur. Le Globe and Mail a reçu par erreur un document intégral de 384 pages qui expliquait les erreurs du personnel carcéral. La commission d'accès à l'information a été avisée de ce problème. Parfois l'erreur a été repérée rapidement; parfois la liberté illégale durait des mois. La plupart des détenus coopéraient avec la police.